En revenant de mon train-train quotidien, je trouvais ma soubrette soumise qui rangeait avec application la maison.Son obéissance et son dévouement à ses devoirs étaient louables, mais j'avais une tâche différente en tête pour elle.J'ai toujours trouvé quelque chose d'irrésistible dans l'attrait d'une servante en uniforme.La vue d'elle dans sa tenue de soubrette, se penchant, était trop pour résister.Je pris rapidement le contrôle, l'obligeant à me servir avec une passion débridée.L'intensité de notre rencontre la laissa dans un état d'humiliation, mais aussi un sentiment de satisfaction.La dynamique du pouvoir entre nous était claire, mais le lien physique que nous partagions était indéniable.Je me délectais du plaisir de la dominer, de repousser ses limites et d'explorer de nouvelles profondeurs de nos désirs pervers.Notre rencontre quitta la maison immaculément propre, au sens propre comme métaphorique.Le lien que nous partenions, alimenté par la luxure et la soumission, était un témoignage du pouvoir érotique de la servante.